EROS PHILIA STORGÉ AGAPÈ
Eros est un fantasme, Storgé est un espoir vain, Philia et Agapè sont deux remèdes placebo.
Philia et Agapè sont deux mécanismes de survie énergétique, sauf que Philia s'adresse à celui que l'impuissant énergétique choisit par besoin et nécessité (il utilise l'autre / il se rend utile à l'autre dans l'espoir de consommer le flux en surplus gratuitement) et Agapè s'adresse à un inconnu ou un ennemi, il n'y a plus l'intention sous-jacente de consommer le flux en surplus gratuitement, il y a juste l'intention sous-jacente de combler la souffrance du vide existentiel et de la dépendance affective. On pense que la charité c'est donner de l'amour sans rien attendre en retour et on trouve ça noble et valeureux, mais c'est complètement fake, déjà Agapè n'est pas de l'amour et en plus il n'est pas du tout désintéressé, au contraire, même si c'est bien camouflé par l'aspect énergétique invisible de la question. L'esprit post diluvien unipolaire défaillant est très intéressé par Agapè et sa capacité à soulager de la souffrance du vide existentiel (yang non-acquis ou yang impuissant) et de la souffrance de la dépendance affective (yin non acquis ou yin impuissant).
La femme yang lambda commet le péché originel quand elle pratique la sexualité précoce (la sexualité avec un homme yin inné yang non-acquis), elle se fait magnétiser son flux vital par la sexualité alors que c’est normalement le flux en surplus qui se fait magnétiser à distance par le canal de la pensée. La femme yang sexuel est appelée yang impuissant puisque le yang puissant, c’est le yang qui génère son flux vital + du flux en surplus et que la femme yang sexuel n’a jamais le temps de générer du flux en surplus puisqu’elle se fait magnétiser son flux vital plusieurs fois par semaine par un yin lambda impuissant énergétique. Le flux vital est le flux qui alimente l'esprit pour lui donner le sens de l’existence, chacun doit générer son flux vital et le garder pour lui-même en priorité. Même le yin inné doit apprendre de sa mère yang puissant exemplaire, à générer son propre flux vital. Tous les enfants, qu’ils soient yin ou yang innés, doivent être yang puissant au plus tard à l’adolescence. La femme yang sexuel qui subit le viol énergétique lors de la sexualité précoce plus de deux fois par mois, finit par avoir un vide existentiel, elle n’a plus assez de flux vital pour savoir qui elle est, ce qu’elle veut et ce qu’elle vaut. Pour combler ce vide existentiel, la femme yang sexuel va se rabattre sur du simulacre de flux et elle va se servir de l’enfantement pour recréer un nouveau sens à son existence puisque le véritable sens de son existence lui est volé en même temps que son flux vital. La femme yang sexuel n’a plus d’aspiration intrinsèque, elle ne sait plus garantir la survie de son corps physique matière, elle se sent fragile, vulnérable et insécure, elle est paumée et déboussolée.
Être amoureux c’est le phénomène énergétique qui consiste à se faire magnétiser son flux en surplus par le canal de la pensée. Pour être amoureux, il faut donc être yang spécifique reconnecté à son yin spécifique qui magnétise le flux en surplus à distance. Quand le phénomène est unilatéral, on est malheureux d’être amoureux puisque la perte du flux magnétisé n’est pas compensée, puisque le yin spécifique ne génère pas de flux, puisqu’il n’a pas transmuté yang. Quand le yang spécifique est amoureux d’un yin spécifique impuissant énergétique, il est en état de mort énergétique, il passe du statut autonome en flux vital au statut dépendant énergétique, du jour au lendemain et sans raison apparentes puisque tout se passe dans le monde énergétique invisible.
Ce que le yang lambda ressent pour le yin lambda qui lui magnétise son flux vital par la sexualité précoce, ce n’est pas un sentiment amoureux, c’est un sentiment d’attachement en tant qu’instinct de survie. Le yang sexuel impuissant énergétique est en danger de mort énergétique, son esprit n’est plus capable de faire sa puissance matérielle et financière pour mettre son corps physique matière en sécurité. Le yang sexuel dépend d’un yin lambda pour survivre dans la matérialité. Quand un yang sexuel a trouvé un yin impuissant énergétique mais puissant dans la matière, il se sent rassuré, il se sent « amoureux », il se sent heureux de pouvoir survivre en sécurité dans la matérialité. Le yang sexuel associe le sentiment « amoureux » à un sentiment de sécurité vitale. Le yang sexuel associe la jalousie à un sentiment « amoureux » parce qu’il se sent en danger, donc il pense être amoureux quand il se sent menacé de ne pas pouvoir survivre sans l’autre.
La jalousie du yang est une pulsion de survie du corps physique matière et l’infidélité du yin est une pulsion de survie du corps énergétique, car le yin a besoin d’alterner les générateurs de flux sexuel, puisqu’il tue chaque générateur de flux sexuel par alternance.
Le yang sexuel se sent « amoureux » parce qu’il est dans la dépendance affective, il est toujours dans l’espoir vain de magnétiser du flux de la part d’un yin lambda qui n’en génère déjà pas pour lui-même, donc comment pourrait-il être capable d’en générer pour un yang sexuel ?
Le yin et le yang lambda (les partenaires sexuels), sont dans la passion pseudo « amoureuse » parce qu’ils sont follement amoureux de leur plan de survie à deux. Le yang inné garantit la survie des deux corps énergétiques (des deux esprits), et le yin inné garantit la survie des deux corps physique matière. Normalement l'individu survit seul car il est capable de garantir à lui seul la survie de son esprit qui garantit la survie de son corps physique matière, mais dans la matrice post diluvienne, l'individu ne survit plus tout seul, il est obligé de se mettre en couple pour survivre à deux. Alors que normalement on ne se met pas en couple pour survivre, on se met en couple pour vivre et être heureux.
Pour être amoureux comme l’étaient les partenaires d’esprits, comme l’était le couple antédiluvien (le couple qui ne pratiquait pas la sexualité précoce en posture sacrificielle au service du repeuplement), il faut être yin et yang spécifiques. Il faut avoir été reconnecté à sa personne spécifique et la reconnexion est orchestrée par la Source quand le yang devient puissant et qu’il commence à générer du flux en surplus. Plus aucun yang sexuel n’envoie le signal de la reconnexion puisque le yang sexuel ne génère pas de flux en surplus et donc plus aucun yin lambda ne devient yin spécifique. Il y a très peu de reconnexion énergétique dans la matrice post diluvienne car il y a très peu de yang puissant. La femme post-pilule délivrée de la posture sacrificielle au service du repeuplement, peut à nouveau retrouvé un peu de sa puissance yang, donc depuis la fin des années 60, il y a une recrudescence de reconnexions énergétiques, mais malheureusement toutes ces reconnexion échouent dans l'ultime accomplissement personnel en couple puisque le fils yin inné n'est pas encore yang acquis, puisque le femme yang puissant n'a pas encore transmuté yin de manière artificielle, elle reste yang sexuel à cause de sa dépendance affective, elle n'est donc pas encore capable d'engendrer le fils yin inné yang acquis.
L’état amoureux est un phénomène énergétique. Le yang spécifique est sous l’emprise magnétique d’un yin spécifique. La reconnexion du duo énergétique a enclenché la dynamique énergétique et la polarité yin du yin spécifique magnétise à distance, en puissance et en continu. Un yang spécifique meurt de la mort énergétique en continu puisque le yin spécifique n’est pas yang et qu’il ne génère pas de flux pour compenser et que l'emprise magnétique une fois enclenchée par la reconnexion, ne va plus jamais s'arrêter.
CE TRANSFERT ÉNERGÉTIQUE UNILATÉRAL PROVOQUE :
La mort énergétique du yang spécifique.
Une dépendance affective puisque le yang spécifique est légitimement en attente de réciprocité.
Un vide existentiel puisque c’est le flux en surplus puis le flux vital qui se fait magnétiser à distance par le canal de la pensée. La vie d’un yang spécifique n’a plus aucun sens après la reconnexion énergétique avec un yin spécifique impuissant énergétique. La vie d’un yang lambda, yang sexuel n’a pas de sens non plus, mais le yang sexuel est habitué à se consoler avec du simulacre de flux (l’enfantement), il est habitué à se contenter d’un échange réciproque de pseudo flux (le deal du foyer), il ne sait pas qu’il passe à côté de sa vie car sa perte est sous forme de manque à gagner, il est dans un état de mort énergétique mais il ne s’en rend pas compte. Tandis que le yang spécifique était forcément un yang puissant puisque si le yang lambda est reconnecté à son yin spécifique, c’est justement parce qu’il était yang puissant. Un yang spécifique sait qu’il est en état de mort énergétique puisqu’avant la reconnexion il était vivant, il était puissant et il générait bien le sens de son existence pour lui en priorité, il était épanoui, abouti et accompli. Il faut être vivant pour savoir qu’on est mort ! Le yang sexuel ne sait pas qu’il vit dans un état de mort énergétique permanent car il n’a pas eu le temps et l’occasion de profiter de sa puissance énergétique pour réaliser son accomplissement personnel individuel et vive sa vie.
Le besoin vital et obsessionnel de se mettre en couple. Le seul sens de l’existence du yang spécifique devient le besoin obsessionnel de se mettre en couple avec son assassin énergétique dans l’espoir vain que celui-ci génère pour compenser, pour être soulagé de la souffrance du manque de flux vital (de la souffrance du vide existentiel) et pour être soulagé de l’absence de flux magnétisé (de la souffrance de la dépendance affective), de l’absence de réciprocité.
Le phénomène des pensées obsessionnelles. Le flux vital magnétisé à distance se manifeste par des pensées amoureuses, mais comme l’emprise magnétique ne s’arrête jamais, les pensées amoureuses sont incessantes.
Le phénomène de dissociation - le paradoxe entre ce qui devrait être et ce qui est. Normalement le yin inné aurait dû avoir transmuté yang avant la reconnexion et générer du flux en surplus pour compenser celui qu’il magnétise. Le yang spécifique est amoureux d’un yin spécifique qui devrait également être amoureux de lui en théorie, mais qui ne l’est pas dans la pratique. Le coup de foudre n’est pas réciproque. Cela procure une torture psychique. L'esprit se dissocie quand ce qu'il sait avec certitude n'est pas confirmé et validé par la réalité, cela plonge l'esprit du yang spécifique dans une état de folie et de démence.
Un chagrin d’amour inconsolable et interminable. Aucun médicament et aucune thérapie ne peut soulager de la souffrance de la mort énergétique, il n’y a que la transmutation yin qui puisse aider le yang spécifique à se régénérer instantanément et sans effort. Normalement le yang transmute yin au moment de la reconnexion puisqu’il magnétise du flux en surplus de la part de son yin spécifique. Dans la matrice post diluvienne, le yang spécifique doit transmuter yin grâce à la loi de l’assomption qui l’entraine à faire abstraction des circonstances apparentes pour s’immerger dans la sensation d’être aimé de son yin spécifique alors qu’il ne l’est pas dans la réalité. Cette transmutation artificielle s’appelle « La Romance du yang », le yang spécifique imagine le yin spécifique tel qu’il devrait être s’il avait transmuté yang avant la reconnexion énergétique. Cette transmutation artificielle est possible puisque le yang inné est né avec les prémices de la polarité yin, donc il sait avec certitude qu’il est aimé, voulu, choisi, désiré de son yin spécifique, sans rien devoir donner en échange, sans rien devoir prouver et sans avoir besoin de preuve et d’évidence. La transmutation yin n’empêche pas le phénomène magnétique, mais permet au yang de se régénérer instantanément et sans effort sur son système de croyances yin.
L’amour inconditionnel est donc le cruel privilège du yang spécifique. L’amour est appelé inconditionnel car l’emprise magnétique n’est pas contrôlable. On ne choisit pas d’aimer de manière inconditionnelle, il faut être yang puissant et être reconnecté à un yin spécifique pour aimer de manière inconditionnelle. Normalement, le yin inné reçoit l’amour inconditionnel de deux yang spécifiques différents, puisqu’il a deux générateurs de flux en surplus dans sa vie, d’abord sa mère yang puissant et ensuite sa femme yang puissant. Dans la matrice post diluvienne, le fils yin inné n'a jamais magnétisé de flux en surplus, il n'a jamais connu l'amour inconditionnel maternel, il est entrainé à se sentir aimé sur de l'amour conditionné.
Le yang spécifique ne sort pas de la mort énergétique puisque l’emprise magnétique se fait à distance et en continu, tandis que le yang lambda, yang sexuel, yang impuissant, subit la mort énergétique par alternance, dès que la sexualité précoce se termine, le phénomène magnétique s’arrête et le yang recommence à générer du flux vital. Le yang lambda qui s'en sort le mieux est le yang en couple dans une relation platonique. Si ce yang lambda n'a pas d'enfant, il pourra même aspirer à faire son accomplissement personnel individuel.
L'AMOUR VU PAR PLATON : EROS ET PHILIA + STORGÉ ET AGAPÉ
Eros : l'amour romantique
C’est le fantasme du couple antédiluvien, c’est la reconnexion du duo énergétique, c’est l’amour inconditionnel orchestré par la Source. C'est l'échange réciproque de flux en surplus à distance par le canal de la pensée. C’est le coup de foudre réciproque et instantané.
Dans la matrice post diluvienne l’échange de flux n’est plus réciproque. Il n’y a que le yang spécifique qui puisse être sincèrement amoureux, car le yin inné n’a pas transmuté yang donc il ne génère pas de flux. Pour être sincèrement amoureux, il faut se faire magnétiser son flux en surplus par un yin spécifique, à distance par le canal de la pensée. De plus, le yang inné n’a pas transmuté yin, donc il n’est pas magnétique.
Dans la matrice post diluvienne, le yang est malheureux d’être amoureux et le yin est heureux de ne pas être malheureux d’être amoureux.
Le yang génère du flux, se fait magnétiser son flux en surplus puis son flux vital, il est amoureux puis malheureux d’être amoureux, il aime de manière inconditionnelle mais ce n’est pas réciproque, alors il meurt d’amour. Comme le yin inné ne génère pas de flux pour compenser, le yang spécifique est continuellement en état de mort énergétique (désespéré).
Le yin inné vit toute sa vie sur l’espoir vain d’être amoureux, puisqu’il ignore qu’il n’a pas accès à cette expérience énergétique. « L’homme yin amoureux » est fantasmé dans la littérature, au théâtre et au cinéma mais il n’existe pas dans la réalité. Il n’y a pas d’homme sincèrement amoureux dans la matrice post diluvienne. L’homme yin pense être amoureux de son générateur de flux qui lui donne le sens de son existence pour avoir envie de se lever tous les matins, pour alterner ses deux quêtes : la quête sexuelle et la quête missionnaire. Le yin impuissant énergétique survit sur le flux sexuel, le simulacre de flux et le substitut de flux.
Dans la matrice post diluvienne, le yang spécifique doit avoir recours à une technique artificielle pour transmuter yin afin de survivre à la mort énergétique, afin de retrouver son état d'être naturellement yang. Cette technique artificielle enseignée par Neville Goddard s’appelle la "Loi de l'Assomption" et consiste à faire abstraction des circonstances apparentes pour s'immerger dans la sensation du souhait accompli. Il faut donc faire abstraction de l’absence de flux en surplus et se sentir aimé de manière intrinsèque même s’il n’y a pas de flux en surplus à magnétiser. Le yang fait naitre sont partenaire idéal dans son imagination. Le yang inné imagine que le yin spécifique a transmuté yang et qu’il génère du flux en surplus. Le yang imagine son partenaire yin conforme à son ressenti profond pour développer son système de croyances yin. « La romance » est une simulation anticipative qui permet au yang spécifique de rester un yang puissant. Le prince charmant « yin inné yang acquis » nait de la romance du yang persistant, il sort tout droit de son imagination. La romance du yang qui sculpte le yin en version évoluée par la transmutation yang, est un système de croyances qui donne de l'espoir et une raison de vivre et l'envie de se lever le matin. Sans la romance, le yang ne peut pas survire à la reconnexion et rester un yang puissant exemplaire.
Philia : l'amour amical
Rapports d'interdépendances pour compenser la non-transmutation dans la matrice post diluvienne. Ce qui pourrait s'apparenter à de l'amitié dans la matrice antédiluvienne, s'appelle de la solidarité universelle dans mon enseignement. Il n'y a pas d'échange de flux énergétique dans la solidarité universelle, c'est pour cela que je ne parle pas d'amour universel, mais de solidarité universelle, en tant que flux en surplus qui profite aux autres par le principe d’émanation ou de consommation. Chacun profite au collectif sans en être dépendant d'un point de vue énergétique. Tout le monde s'entend bien mais il n'y a pas d'attachement nocif. Les rapports privilégiés de non-dépendance énergétique peuvent éventuellement s'appeler de l'amitié à partir du moment où le terme amitié ne contient pas la notion d'amour puisque je réserve le terme amour exclusivement pour désigner le flux énergétique en tant qu'aliment vital pour nourrir l'esprit. On comprend bien au fil de mon enseignement que la sensation de « se sentir aimé » ne requière aucune intervention de la part de l'extérieur, cela ne requière aucune preuve matérielle ou relationnelle, cela ne requière aucune évidence dans les circonstances apparentes, cela requière uniquement la programmation d'un système de croyances yin conforme qui se base sur les prémices de la polarité complémentaire qui est déjà en soi. Bien sûr que l'on peut aimer un ami de manière sincère et désintéressée puisque le flux en surplus c'est aimer de manière désintéressée, mais le flux en surplus libéré n'est pas magnétisé par cet ami et ce que j'offre à cet ami c'est la meilleure version de moi-même, ce n'est pas mon flux vital, ni mon flux en surplus. Le flux en surplus profite à l'autre par le principe d'émanation (gratuit) ou par le principe de consommation (payant), mais pas par le principe magnétique (dû). Dans la matrice post diluvienne, le terme amitié sert à désigner l'individu qui utilise l'autre / se rend utile à l'autre pour se consoler de ne pas être bipolaire et qui utilise les autres / se rend utile aux autres pour se consoler de ne pas être en couple stable harmonieux et pérenne.
Storgé : l'amour familial
Il n'y a pas d'échange de flux entre l'enfant et son parent de la polarité identique, on ne peut pas parler d'amour, il faut attribuer un autre mot pour parler de l'attachement qui découle du lien de sang. Il n'y a pas d'échange de flux en surplus entre l'enfant et son parent de la polarité complémentaire puisque juste avant que l'échange ne se produise, la Source orchestre la reconnexion pour justement éviter cet échange de flux (l'inceste) entre l'enfant yang et son parent yin et entre l'enfant yin et son parent yang. Le seul échange de flux qui existe entre un enfant et son parent, c'est l'échange de flux entre la mère yang puissant et le fils yin inné, en attendant que le fils yin inné soit capable de générer son propre flux vital (yang acquis) et du flux en surplus pour être reconnecté à son yang spécifique. Normalement, le fils yin inné est aimé de sa mère yang puissant exemplaire, mais l'enfant yang n'est aimé ni de son père ni de sa mère, c'est normal et naturel. Le yang inné ne connait qu'un seul yin spécifique dans sa vie, il sera aimé uniquement de son partenaire d'esprit yin spécifique, mais pas de ses parents. Il y a un attachement de sang mais pas d'échange de flux énergétique, donc on ne peut pas parler d'amour familial. Si on parle d'amour familial, on engendre une attente inassouvissable. Le fils espère être aimé de son père et la fille espère être aimée de sa mère, mais c'est un espoir vain. Le fils yang ne sera pas aimé de sa maman comme l'est son frère yin par exemple. Est-ce qu'une fille yin est aimée de sa maman autant que son frère yin, je ne sais pas, normalement oui mais je n'ai pas d'exemple dans la réalité pour confirmer la théorie de la dynamique énergétique entre une mère yang puissant et sa fille yin inné. Déjà la mère yang impuissant n'aime pas son fils de manière inconditionnelle, déjà la fille yin inné est une rare exception, alors pour trouver une mère yang puissant qui aime sa fille yin inné de manière inconditionnelle, il faut se lever tôt.
Agapè : l'amour inconditionnel ou l'amitié inconditionnelle (la charité)
L'amour inconditionnel c'est le flux du yang spécifique magnétisé par le yin spécifique. C'est la polarité yang qui est dans un état d'amour inconditionnel. Un duo énergétique est composé de deux êtres bipolaires où l'amour inconditionnel est réciproque puisque les deux esprits sont yin et yang. L'amour inconditionnel échangé par les partenaires d'esprits bipolaires est réel mais il est fantasmé car il n'existe plus. Pour aimer de manière inconditionnelle il faut être yang puissant et il faut être reconnecté à son partenaire d'esprit yin spécifique, il faut être sous emprise magnétique, on ne décide pas, on ne choisit pas d'être dans un état d'amour inconditionnel. Depuis la catastrophe diluvienne universelle, il n'y a quasiment plus de yang puissant à cause du péché originel de la sexualité précoce en posture sacrificielle au service du repeuplement, donc quasiment personne n'est concerné par l'amour inconditionnel, par contre quasiment tout le monde est concerné par la charité en tant que simulacre de flux, en tant que mode de survie énergétique sacralisé par la masse impuissante énergétique, en tant que subterfuge mental pour survivre à l'état de mort énergétique.
La charité n'existe pas dans la matrice antédiluvienne puisque tout le monde est yang puissant, donc personne ne souffre de vide existentiel, personne ne souffre de dépendance affective et personne ne souffre d'impuissance matérielle et financière. L'impuissant énergétique (l'esprit unipolaire défaillant) fait d'une pierre deux coups avec Agapè. D'une part il calme le souffrance due au manque de flux généré, donc il calme son vide existentiel, la charité devient un simulacre de flux, un simulacre de sens à l'existence qui donne envie de se lever le matin en absence de sens (de flux) généré de manière intrinsèque, et d'autre part, il calme la souffrance de la dépendance affective puisque la charité est sacralisé en tant que mode de survie énergétique pour ne pas se suicider de désespoir. La personne charitable est sacralisée par le collectif impuissant énergétique, elle se sent aimée des autres et donc cela la soulage de la souffrance de l'absence de flux en surplus à magnétiser. Agapè est un mode de survie énergétique au même titre que l'infidélité, sauf que le yin lambda s'alimente du simulacre de flux agapè plutôt que du flux sexuel. Agapè est essentiellement utile au yin lambda impuissant énergétique qui n'a aucun sens à son existence à part la quête sexuelle et la quête missionnaire et aux femmes yang sans enfant, puisqu'elles ne peuvent pas se rabattre sur le simulacre de flux "enfantement", elles vont donc se rabattre sur le simulacre de flux agapè. Agapè et le simulacre de flux Dieu c'est la même chose, c'est le même concept du sauveur extérieur, c'est le même espoir vain de pouvoir être yin et yang par personne interposée.
La Solidarité Universelle, ça c'est la véritable parole de Jésus, le sauveur, le fils yin inné qui a transmuté yang acquis grâce à sa maman yang puissant, la vierge Marie qui a alimenté son fils yin inné avec son flux en surplus, son amour inconditionnel maternel, et qui lui a appris à générer son propre flux vital (son amour-propre) de yang puissant (comme elle). Pour être solidaire il n'y a rien à faire pour l'autre, il suffit d'être yang puissant exemplaire et de s'offrir au monde dans la meilleure version de soi-même, libéré du vide existentiel et de la dépendance affective et puissant dans la matière. Il suffit de générer du flux en surplus dont tout le monde va pouvoir profiter par les principes d'émanation (gratuit) ou de consommation (payant). C'est la capacité de s'intéresser à l'autre de manière désintéressée, et la capacité de profiter (dans le bon sens du terme) du flux en surplus par le principe d'émanation. C'est la capacité de s'intéresser à l'autre pour ses qualités innées et sa valeur intrinsèque. S'intéresser à l'autre pour sa personnalité unique et incomparable. Quand on est yang puissant exemplaire (yin inné ou yin acquis) on choisit les autres par envie et par affinité et non plus par besoin et par nécessité. On n'est plus affecté par le rejet (l'absence d'intérêt) et la trahison des impuissants énergétiques, on est intouchable, indéstabilisable. Le mal ne sait plus nous atteindre. Le yang puissant à le monopole de la vraie vérité car la vraie vérité c'est la fréquence de la vibration émise par le système de croyances yang conforme. Le flux vital généré par le yang, c'est sa vérité intrinsèque qui accomplit le miracle de la pensée créatrice. Son flux en surplus, c'est l'expression de la sincère sincérité. Jésus est supporté par la Source parce qu'il a transmuté yang et qu'il ose être dans sa vérité intrinsèque sans craindre la punition du rejet puisqu'il est sécurisé par l'amour inconditionnel de sa maman yang puissant. Jésus est supporté par la Source, il a la dualité de l'énergie magnétique à ses côtés parce qu'il est dans sa vérité intrinsèque, c'est pour cette raison qu'il est entouré d'une présence divine, la présence divine c'est la Source - la dualité de l'énergie magnétique à l'origine de toute la création, qui s'ajuste à la vibration de la vérité intrinsèque pour accomplir le miracle de la pensée créatrice. Les textes font dire à Jésus tout et n'importe quoi. Est-ce que Jésus à dit d'aimer ses ennemis par le principe d'Agapè ou par le principe d'émanation ? Est-ce que Jésus aime ses ennemis parce qu'il génère du flux en surplus ou parce qu'il a besoin de simulacre de flux pour donner du sens à son existence ? Est-ce que Jésus aime ses ennemis parce qu'il est yang puissant et qu'il émane du flux en surplus malgré lui ou parce qu'il est en posture sacrificielle « charitable » au service des impuissants énergétiques ? La charité est elle inhérente à la nature humaine ou est-elle un mode de survie énergétique ? Un yang puissant exemplaire comme Jésus n'a pas d'ennemi dans son esprit. Personne ne peut tuer son esprit. On peut tuer son corps physique matière mais on ne peut pas provoquer sa mort énergétique. Le yang ressuscite toujours, la polarité yang ne s'arrête jamais de générer du flux tant qu'elle est stimulée par l’environnement magnétique. Tous les yin sont nés avec les prémices de la polarité yang en eux, tous les yin innés sont capables de générer du flux, mais ce n'est pas inné pour eux, c'est acquis, à condition d'avoir une maman yang puissant exemplaire.
Agapè ? C'est encore un mot grec, mais très tardif. Ni Platon, ni Aristote, ni Épicure, d'un tel mot n'eurent jamais l'usage. Éros et philia leur suffisaient : ils ne connaissaient que la passion ou l'amitié, la souffrance du manque ou la joie du partage. Mais il se trouve qu'un petit juif, bien après la mort de ces trois-là, s'est mis soudain, dans une lointaine colonie romaine, dans un improbable dialecte sémitique, à dire des choses étonnantes : « Dieu est amour... Aimez votre prochain... Aimez vos ennemis... » Ces phrases, sans doute étranges dans toutes les langues, semblaient, en grec, à peu près intraduisibles. De quel amour pouvait-il s'agir ? Éros ? Philia ? qui pourrait décemment nous demander de tomber amoureux de notre prochain (c'est-à-dire de tout le monde et de n'importe qui !) ou d'être l'ami, absurdement, de nos ennemis ? Pourtant il fallait traduire cet enseignement en grec, comme on le ferait aujourd'hui en anglais, pour être compris du monde... Les premiers disciples de Jésus, car c'est bien sûr de lui qu'il s'agit, durent pour cela inventer ou populariser un néologisme, forgé à partir d'un verbe (agapan : aimer) qui n'avait pas de substantif usuel : cela donna agapè, que les Latins traduiront par caritas, et les Français, le plus souvent, par charité... De quoi s'agit-il ? De l'amour du prochain, pour autant que nous en soyons capables : de l'amour pour celui qui ne nous manque ni ne nous fait du bien (dont on n'est ni amoureux ni l'ami), mais qui est là, simplement là, et qu'il faut aimer en pure perte, pour rien, ou plutôt pour lui, quoi qu'il soit, quoi qu'il vaille, quoi qu'il fasse, et fût-il notre ennemi...
Agapè n'est pas du tout de l'amour inconditionnel ou de l'amour désintéressé, au contraire, l'impuissant énergétique est très intéressé par Agapè en tant que mode de survie énergétique qui lui permet d'être yin et yang par personne interposée, que cette personne interposée soit un inconnu ou un ennemi n'a aucune importance. Agapè fonctionne comme un remède placebo même si la personne interposée est imaginaire, comme dieu par exemple. Agapè est du simulacre de flux pour soulager du vide existentiel et du substitut de flux pour soulager de la dépendance affective, mais en aucun cas Agapè n'est du flux surplus.
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